Une douzaine de points d’arrêts

Situation actuelle du réseau. On observe notamment que les trois parties du réseau ferroviaire du Brabant wallon ne communiquent pas directement entre elles — et que tout l’Est de la province n’est pas desservi par le chemin de fer.
Tracé très schématique de l’implantation de la transbrabançonne : en rouge les voies qui doivent être construites ou réhabilitées ; en vert, les tronçons existants qui sont utilisés dans le cadre de ce projet.

Liège – Ans – Waremme – Hannut – Jodoigne – Wavre – Ottignies (correspondance vers Bruxelles, Namur et Louvain-la-Neuve) – Genappe – Nivelles (correspondance vers Bruxelles, Braine-l’Alleud et Charleroi) – Braine-le-Comte (correspondance vers Hal, Tubize, Ecaussines et Manage) – Soignies – Jurbise (correspondance vers Ath et Lessines) – Mons.

Il importe de préciser que plusieurs options sont possibles entre Genappe et Soignies (passage ou non à Braine-le-Comte), selon qu’on choisit d’utiliser entièrement l’ancienne ligne 141 (entrée par le Nord de Nivelles) ou que l’on envisage une entrée par le Sud de Nivelles (en longeant le contournement routier, ce qui permet de mieux desservir le zoning Sud de Nivelles). Dans le premier cas, on rejoindrait la ligne 108 au Nord d’Ecaussines (solution plus simple, mais donnant de moins bonnes connexions avec le reste du réseau). Dans le second cas, on relierait Nivelles à Braine-le-Comte en passant par Ronquières (tracé plus intéressant, mais plus complexe : gestion de la sortie Nord de Nivelles, caractère plus accidenté du terrain, traversée du Bois de la Houssière). Ceci doit faire l’objet d’une étude approfondie.

Arrêts intermédiaires à envisager éventuellement (selon le type d’exploitation retenu) à Geer, Orp-Jauche, Piétrebais, Grez-Doiceau, Bousval, Nivelles-Sud (sur la ligne 124 vers Charleroi, qui serait commune à cet endroit), Ronquières (?).